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Archives de presse

Communiqués de presse

« Des mesures complexes, mais au moins, aucun secteur ne doit fermer »

Le SNI estime que des mesures très (trop) poussées ont été  prises pour les cafés, les dancings et concernant le télétravail, mais comprend que des mesures strictes devaient être prises pour réduire le nombre d'infections. « La priorité était de ne fermer aucun secteur, mais nous craignons un impact économique important sur certains secteurs comme l’horeca et les discothèques.

Oui, le CST a un effet négatif sur le chiffre d’affaires

Deux semaines après l’instauration du CST en Wallonie et en Flandre et un mois à Bruxelles, le constat est amer pour les secteurs visés. 2/3 des établissements concernés constatent une baisse de chiffre d’affaires.

Le SNI rejette l’imposition pure et simple du paiement électronique. « Il faut une vision beaucoup plus large »

Au 1er juillet prochain, tous les commerçants devront, selon la volonté du Ministre des Finances Van Peteghem, disposer d’un moyen de paiement électronique. Le SNI rejette cette imposition pure et simple. « Il faut une réforme plus large ».

Le SNI se réjouit des mesures wallonnes de soutien aux indépendants sinistrés

Le gouvernement wallon a annoncé hier ses mesures de soutien aux indépendants et entreprises, victimes des inondations de juillet. Le SNI se réjouit de ces mesures. « Elles permettront en effet d’aider tous ces entrepreneurs sinistrés à se relancer.

Le SNI globalement satisfait de l’accord sur le budget mais se pose des questions concernant la formation

Le SNI se déclare plutôt satisfait de l’accord entre les différents partenaires de la Vivaldi sur le budget et sur différentes mesures sur la relance ou l’emploi mais se pose par contre plus de questions quant à la mise en œuvre de l’introduction d’un droit à la formation pour les salariés.

« Un semaine de quatre jours de travail pour le même salaire ? Ca devrait être possible pour ceux qui le souhaitent, à condition que le coût du travail n'augmente pas »

Une semaine de travail de quatre jours est actuellement sur la table du gouvernement. Le SNI ne trouve pas l'idée en soi mauvaise. « C'est un pas dans la bonne direction pour arriver à davantage de flexibilité ». Le SNI émet toutefois quelques réserves : « Pas d’obligation pour l’employeur et le coût pour celui-ci ne peut en aucun cas augmenter ».

Supprimer les certificats médicaux pour une maladie de courte durée : la porte ouverte aux abus

Le gouvernement fédéral évalue la possibilité de lever l'obligation de présenter un certificat médical en cas d’absence de courte durée pour maladie. Pour le SNI, il en est hors de question.  La suppression des certificats médicaux ouvrira la porte aux abus. Si cette obligation tombe effectivement, le SNI demande qu’on « réinstalle alors en contrepartie le jour de carence ».

Faire payer immédiatement un délinquant pour un vol à l’étalage, c’est bien mais quid du commerçant lésé ?

Le Ministre de la Justice vient d’annoncer son intention de mettre en place un système de transaction immédiate de 250 euros pour des ‘délits mineurs’ comme le vol à l’étalage. C'est un pas dans la bonne direction pour décourager des petits délinquants mais cela ne va pas assez loin. « En effet, le commerçant lésé n’est pas pour autant indemnisé »

« 3 PME sur 4 ont un poste vacant et dans 1 cas sur 6 pendant plus d’un an ! »

Plus de 9 employeurs sur 10 ont des difficultés à recruter, ce qui a de très importantes conséquences sur la vie quotidienne de l’entreprise. « Les postes restent vacants durant plus de 3 mois dans 75% des cas et même plus d’un an dans ’1 cas sur 6 ! ».

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