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Archives de presse

« La crise touche aussi la Saint-Valentin ! »

Bruxelles, le 10 février – La crise a un effet négatif sur la Saint-Valentin. C’est ce qui ressort d’une enquête du SNI menée auprès de 354 commerçants et exploitants horeca. Réservation en berne dans l’horeca, moins d’achat ou pour un moindre montant dans les commerces et donc baisse des montants déboursés par les clients pour la Fête des Amoureux. « Pour beaucoup de commerces et d'hôtels et de restaurants, la Saint-Valentin constitue l’un des moments attendus de l’année, il faut donc espérer que ce weekend puisse encore retourner la courbe pour des indépendants qui en ont bien besoin ».


Ce mardi, ce sera la Saint-Valentin. Mais cette année, la crise énergétique et inflationniste continue à frapper et n’est donc pas sans conséquence sur la Fête des Amoureux. C’est le constat d’une enquête du SNI auprès d’établissement horeca et de commerces de détail.
« Traditionnellement, la Saint-Valentin constitue, sans tomber dans les clichés, l’un des moments attendus de l’année pour beaucoup de commerces : fleuristes, bijoutiers, parfumerie ou pour l’horeca mais force est de constater cette année que le cœur n’y est pas trop », regrette le SNI. 

Dans l’horeca, les réservations sont en berne. A ce stade, près de la moitié des établissements interrogés répondent avoir moins de 20% de réservation pour la Saint-Valentin. « C’est une baisse pour 47% d’entre eux. », poursuit le SNI. « Et cela alors que l’année dernière, nous étions encore en code orange covid. Il est donc urgemment temps que les chiffres des réservations s’accélèrent sous peine de voir une Saint-Valentin en mode mineur dans l’horeca.»

Le constat n’est malheureusement pas plus réjouissant dans le commerce de détail. Quelque 44% des commerçants interrogés voient en effet une diminution de leur chiffre d’affaire lié à la période. « Il s’agit soit d’une diminution des achats en eux-mêmes ou d’une baisse des montants des achats. Or, il ne faut pas oublier que la Saint-Valentin représente pour certains commerçants (fleuristes, bijoutiers, parfumeries) une part non négligeable de leur chiffre annuel »

Le SNI veut toutefois rester un peu optimiste. « Espérons que ce weekend va permettre d’inverser la tendance et redonner le sourire à plusieurs secteurs qui continuent à souffrir des couts de l’énergie mais aussi plus globalement de l’inflation », conclut le SNI.

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